Archives - Page 2

  • Avatars de la forme, I
    Vol. 2 No 42 (2019)

    Comme c'est le cas pour les concepts répandus et largement utilisés, il n'est pas facile de savoir ce que l'on entend par forme. La forme impliquée dans la composition de la substance aristotélicienne a peu à voir avec la forme des feuilles, et les feuilles ont peu à voir avec la forme des phrases. Le monde de la forme nous apparaît aujourd'hui comme hétérogène et complexe, mais aussi comme un véhicule qui peut nous permettre d'établir des relations structurelles entre les régions conceptuelles les plus éloignées (biologie et linguistique, physique et logique, mathématiques et psychanalyse).
    À partir de perspectives et de champs de connaissance différents, les auteurs réunis ici réfléchissent au concept de forme et aux différentes énigmes, incarnations et mutations que la science et l'être humain ont déployées.

  • Du sujet et de la subjectivité, II
    Vol. 1 No 41 (2019)

    Partant d'une compréhension générale du concept de sujet - en tant que fonction et principe actif pouvant être figurativisé jusqu'au sujet humain - les contributions explorent ici les différentes perspectives d'analyse que ce terme a acquises et sa relation incontournable avec d'autres termes, tels que subjectivité, subjectivation, subjectivisme, intersubjectivité, subjectivité, etc.
    Ce deuxième numéro sur le sujet et la subjectivité contient des approches critiques, des articles qui reprennent les définitions élaborées par les sciences du langage et la sémiotique d'origine structurale - y compris la sémiotique du corps et la sémiotique tensionnelle -, des travaux qui font dialoguer la sémiotique avec d'autres disciplines, et des textes ancrés dans des problèmes spécifiques du domaine de l'intelligence artificielle.

  • Du sujet et de la subjectivité, I
    Vol. 2 No 40 (2018)

    Pour la sémiotique d'origine linguistique et structurale, la notion de sujet constitue une pierre angulaire de la théorie, d'où l'intérêt de reprendre la problématique du sujet sans la séparer de la subjectivité - à laquelle elle est en fait associée - et en l'abordant comme un nœud conceptuel en soi. Dans les contributions réunies ici, le lecteur trouvera des réflexions sur les origines épistémologiques des deux notions, des analyses sémiotiques de cas spécifiques, des travaux qui mettent en relation les notions de sujet et de subjectivité avec des disciplines telles que la rhétorique, la poétique et la philosophie, des textes qui les relient à l'intersubjectivité ou qui les considèrent à la lumière de nouvelles pratiques sémiotiques.

  • SÉMIOTIQUE ENVIRONNEMENTALE
    Vol. 1 No 39 (2018)

    Adoptando una perspectiva interdisciplinaria, los trabajos reunidos en este volumen ponen en el centro de la reflexión la significación de las prácticas socioambientales, con el propósito de fortalecer el  andamiaje conceptual de una semiótica ambiental. Los estudios de caso que se presentan evidencian la pertinencia de estas indagaciones, como así también la posibilidad de incorporar a los mismos agentes en la valoración de sus formas de vida y en la generación de prácticas acordes con su ecosistema.
  • Miscelánea
    Vol. 2 No 38 (2017)

    Artículos de diversas temáticas, referidos tanto a textos en soporte impreso como digital (videojuegos, Facebook, Twitter), son recogidos en este volumen con el propósito de ofrecer al lector un panorama de la pluralidad de objetos de estudio que reclaman hoy una reflexión semiótica y estimulan el diálogo con otras disciplinas.  

  • Le principe de narrativité. Hommage à Greimas
    Vol. 1 No 37 (2017)

    Honorant l'esprit scientifique de Greimas, qui concevait la théorie sémiotique comme un processus en constante construction grâce à l'activité méta-sémiotique inhérente qui l'anime, ce volume rassemble les réflexions actuelles des sémioticiens latino-américains sur le principe de narrativité. Afin d'examiner toute la portée de la valeur heuristique de ce principe, un parcours est effectué depuis ses origines historiques-épistémologiques, en passant par le grand développement dont il a bénéficié et qui a conduit à la projection de la sémiotique comme une méthodologie possible pour les sciences sociales, jusqu'à la sémiotique contemporaine, qui est appelée à consolider sa propre identité disciplinaire et à fournir des réponses aux différentes formes que la signification a acquises ces derniers temps.

  • Les modes du croire
    Vol. 2 No 36 (2016)

    La croyance fait partie de ce qu'on appelle les modalités épistémiques, qui sont définies comme une force cognitive conduisant les sujets à prendre pour certain, soit quelque chose qu'ils peuvent prouver ou démontrer, soit quelque chose de non prouvable - mais plausible ou probable. Ainsi, la forme que prend cette force cognitive est celle du savoir - comme dans le cas du discours logique ou scientifique - et du croire - sous-entendu dans le discours politique, publicitaire ou religieux.
    Les réflexions des contributions de ce numéro portent sur la modalité cognitive de la croyance et sur les manières de sa présentation dans les différentes sphères et discours : comme déterminant d'une activité, comme effet intentionnel, comme mode d'existence ou comme forme d'expression.

  • Argumentación y polifonía enunciativa
    Vol. 1 No 35 (2016)

    Pour la sémantique argumentative, le sens de nos mots, expressions ou énoncés n'est pas constitué par les choses, faits ou propriétés qu'ils dénotent, ni par les pensées ou croyances qu'ils suggèrent, mais par les chaînes ou discours polyphoniques-argumentatifs que ces mots, expressions ou énoncés évoquent. Sur la base de cette caractérisation de la signification, les différentes contributions ici réunies adoptent une approche non-référentialiste et non-véritativiste de la signification. Ils adoptent également le slogan polyphonique-argumentatif selon lequel derrière les mots il n'y a pas d'objets, mais des discours et des points de vue attribués à différents sujets (le locuteur, l'interlocuteur, la doxa, etc.) sur la base desquels les situations dont nous parlons sont représentées dans nos énoncés.

  • La paradoja en el discurso
    Vol. 2 No 34 (2015)

    Tant du point de vue de la rhétorique que du point de vue de la logique, les paradoxes constituent un rejet de la doxa, une subversion de nos croyances et connaissances les plus profondément ancrées. D'où notre besoin constant de leur fournir une "solution" qui nous ramène aux limites du bon commun ou du bon sens.
    Contrairement à de telles considérations, la persistance des paradoxes dans une multiplicité de discours et de formes de vie au fil du temps, comme le montrent les contributions rassemblées ici, suggère qu'ils constituent un authentique principe d'organisation discursive, dont nous n'avons pas fini d'évaluer l'importance et les implications théoriques et épistémologiques.

  • La inmanencia en cuestión III
    Vol. 1 No 33 (2015)

    Les trois volumes qui composent L'immanence en question ne prétendent pas établir, à la manière d'une entrée d'encyclopédie, le sens que l'on souhaite donner à l'immanence. Au contraire, on peut dire que la recherche sur cette problématique a été mise à jour avec ses positions divergentes et ses différentes interprétations. L'acquisition majeure de ces réflexions et l'un de leurs points de conclusion est peut-être que la question de l'immanence est l'un des traits distinctifs de la sémiotique.
    Dans ce troisième volet, l'immanence apparaît comme une double dynamique : une instance sémiotique qui possède ses propres stratégies d'autoconstitution et de manifestation, ou une compétence à faire fructifier les pratiques sémiotiques.

11-20 sur 52