La gestion environnementale dans les processus de resignification de l’existence
DOI :
https://doi.org/10.35494/topsem.2018.1.39.526Mots-clés :
formes de vie, immanence, gestion environnementale, existence, durable,Résumé
On peut analyser les systèmes sémiotiques à partir du développement
de l’environnement qui, selon les environnementalistes
cités dans cet article, consiste en la relation entre ce qui appartient
au domaine social et au domaine écologique à travers la
culture. Pour l’auteur, cette définition renvoie à la sémiosphère
telle que conçue par Lotman : « La sémiosphère est le résultat
aussi bien que la condition du développement de la culture ». On
pourrait considérer que l’immanence est l’instance sémiotique
qui permet d’établir les relations entre les différents systèmes
de la sémiosphère. Au cours de ce processus, que l’on pourrait
nommer sémiotique de la gestion environnementale, le discours
joue un rôle de premier plan tel que le postule l’oeuvre Semiótica,
educación y gestión ambiental de Bodil Andrade Frich et
Benjamín Ortiz Espejel, sur laquelle s’appuie cet article
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