Quelle est cette langueur qui pénètre mon coeur
DOI :
https://doi.org/10.35494/topsem.2011.2.26.101Mots-clés :
-Résumé
À partir d’une image plus poétique que rigoureusement
anthropologique, l’auteur centre le thème de la lenteur à
l’origine du mouvement des grands animaux préhistoriques.
On en tire une première constatation, la patience, notion qui est
étroitement liée à la lenteur et qui devient rapidement presque
morale. Une notion de rythme s’impose et ce mouvement aurait
été naturel aux prédécesseurs des êtres humains. Il est évident
que ni à cette époque lointaine ni lorsqu’elle fait partie de
certains déplacements, la lenteur ne peut être comprise qu’en
relation à la vitesse : à partir de ce jeu, cette ébauche de concept,
celui du rythme, prend forme et s’impose petit à petit jusqu’à
régir non seulement l’intégralité de la vie, aussi bien la vie
individuelle que sociale, mais encore jusqu’à rendre intelligible
tout parcours.
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