Quelle est cette langueur qui pénètre mon coeur

Auteurs

  • Noé Jitrik Instituto de Literatura Hispanoamericana de la Facultad de Filosofía y Letras en la Universidad de Buenos Aires.

DOI :

https://doi.org/10.35494/topsem.2011.2.26.101

Mots-clés :

-

Résumé

À partir d’une image plus poétique que rigoureusement
anthropologique, l’auteur centre le thème de la lenteur à
l’origine du mouvement des grands animaux préhistoriques.
On en tire une première constatation, la patience, notion qui est
étroitement liée à la lenteur et qui devient rapidement presque
morale. Une notion de rythme s’impose et ce mouvement aurait
été naturel aux prédécesseurs des êtres humains. Il est évident
que ni à cette époque lointaine ni lorsqu’elle fait partie de
certains déplacements, la lenteur ne peut être comprise qu’en
relation à la vitesse : à partir de ce jeu, cette ébauche de concept,
celui du rythme, prend forme et s’impose petit à petit jusqu’à
régir non seulement l’intégralité de la vie, aussi bien la vie
individuelle que sociale, mais encore jusqu’à rendre intelligible
tout parcours.

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Biographie de l'auteur

Noé Jitrik, Instituto de Literatura Hispanoamericana de la Facultad de Filosofía y Letras en la Universidad de Buenos Aires.

Director del Instituto de Literatura Hispanoamericana de la Facultad de Filosofía y Letras en la Universidad de Buenos Aires.

Références

-

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Publiée

2016-03-04

Comment citer

Jitrik, N. (2016). Quelle est cette langueur qui pénètre mon coeur. Tópicos Del Seminario, 2(26), 13–24. https://doi.org/10.35494/topsem.2011.2.26.101