Formes de vie. De Wittgenstein à la sémiotique : l’incertain profil des actes de langage.

Auteurs

  • Raymundo Mier Universidad Autónoma Metropolitana Xochimilco

DOI :

https://doi.org/10.35494/topsem.1999.1.1.258

Résumé

L’article propose une réflexion sur le concept de forme de vie, dans le contexte de la philosophie tardive de Wittgenstein, et met en lumière certaines de ses présuppositions et implications pour la compréhension du langage. L’analyse souligne aussi bien l’importance d‘une conception particulière des jeux de langage qui reste étrangère à tout effort de définition formelle que la place cruciale de la notion d’action comme fondement de la certitude. De même, il met en relief les inflexions que la méditation sur le langage expose quand il prend comme point de départ le parallèle entre les usages du langage et les frontières du regard. Pour finir, l’auteur remarque les concordances et discordances entre la vision de Wittgenstein et certaines constructions théoriques de J. Fontanille et Cl. Zilberberg, qui, à partir de Wittegenstein, travaillent la notion de forme de vie pour l’intégrer dans le cadre conceptuel de la sémiotique. 

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Biographie de l'auteur

Raymundo Mier, Universidad Autónoma Metropolitana Xochimilco

Profesor investigador en el departamento de Educación y Comunicación, División de Ciencias Sociales y Humanidades, Universidad Autónoma Metropolitana Xochimilco

Références

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Publiée

2016-03-29

Comment citer

Mier, R. (2016). Formes de vie. De Wittgenstein à la sémiotique : l’incertain profil des actes de langage. Tópicos Del Seminario, 1(1), 17–67. https://doi.org/10.35494/topsem.1999.1.1.258

Numéro

Rubrique

Artículos