Mot propre, mot d’autrui
DOI :
https://doi.org/10.35494/topsem.2001.1.5.407Résumé
Ce qui nous est propre. ce qui est d’autrui vu cornme la sounce de valorisations irnphicitcs dans la comrnunication et le sens, cette idée de Hajtin, reprise par Lotman depuis sa sérniotique de la culture. intégrée á son tour á la conception dLt mécanisme de la compréhension depuis le point de vue de la ‘traduction tota-le”. permet d’apprécier les fétichisrnes d’auteur et du sujet parlant. les limites pour cornprendre ce que l’autre dit. et la marge de l~incompréhension comme la possibilité de générer de nou-veaux sens.
Le droit d’auteur du libre fondamental de Saussure et celui des textes “deutérocanoniques” de Bajtin est mis en observation depuis cette optique. La complexité que représente la traduction des textes de Bajtin s’interprete dans le contexte de la Át-aduction totale”, condition culturelle définitive surtout a l’heure actuelle.
Téléchargements
Téléchargements
Publiée
Comment citer
Numéro
Rubrique
Licence
Tópicos del Seminario is licensed under a Creative Commons Reconocimiento-NoComercial-CompartirIgual 4.0 Internacional License.