L’esthétique et le sacré. “Entrée en matière” d’Octavio Paz
DOI :
https://doi.org/10.35494/topsem.2003.1.9.371Résumé
La totalité signifiante d’un tableau, d’une fresque ou d’une photographie présuppose l’intégration d’un ensemble d’espaces distincts et néanmoins solidaires. Une fois définie la nature des relations qui articulent l’espace visible d’un support matériel quelconque et le champ structuré invisible, par hypothèse rectangulaire, d’un format que spécifie le rapport de ses côtés, on aborde la description de l’”espace représentant” de trois œuvres séparées par le temps et l’espace et relevant d’esthétiques aussi différentes que possible.
Les opérations qui assurent l’émergence d’un champ de format, sous-jacent à l’espace représentant, relèvent d’une “géométrie naturelle”, non euclidienne. Géométrie euclidienne et géométrie perceptive sont corrélables à deux logiques distinctes, binaire et ternaire, dés lors que la seconde admet, à côté des relations d’identité et d’altérité, celle de proximité. Si l’une fait appel à la mesure, l’autre présuppose des opérations de pondération, dont dépendent des effets de sens (tels que “ascendant et léger” ou “descendant et pesant”) de nature impressive.
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