L’esthétique et le sacré. “Entrée en matière” d’Octavio Paz

Auteurs

  • Rita Imboden Universidad de Zurich

DOI :

https://doi.org/10.35494/topsem.2003.1.9.371

Résumé

La totalité signifiante d’un tableau, d’une fresque ou d’une photographie présuppose l’intégration d’un ensemble d’espaces distincts et néanmoins solidaires. Une fois définie la nature des relations qui articulent l’espace visible d’un support matériel quelconque et le champ structuré invisible, par hypothèse rectangulaire, d’un format que spécifie le rapport de ses côtés, on aborde la description de l’”espace représentant” de trois œuvres séparées par le temps et l’espace et relevant d’esthétiques aussi différentes que possible.

Les opérations qui assurent l’émergence d’un champ de format, sous-jacent à l’espace représentant, relèvent d’une “géométrie naturelle”, non euclidienne. Géométrie euclidienne et géométrie perceptive sont corrélables à deux logiques distinctes, binaire et ternaire, dés lors que la seconde admet, à côté des relations d’identité et d’altérité, celle de proximité. Si l’une fait appel à la mesure, l’autre présuppose des opérations de pondération, dont dépendent des effets de sens (tels que “ascendant et léger” ou “descendant et pesant”) de nature impressive.

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Biographie de l'auteur

Rita Imboden, Universidad de Zurich

Investigadora invitada del Programa de Semiótica y Estudios de la Significación de la Benemérita Universidad Autonoma de Puebla

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Publiée

2016-03-29

Comment citer

Imboden, R. (2016). L’esthétique et le sacré. “Entrée en matière” d’Octavio Paz. Tópicos Del Seminario, 1(9), 25–60. https://doi.org/10.35494/topsem.2003.1.9.371