La sémiotique visuelle : grands paradigmas et tendances ligne dure.

Auteurs

  • Jean-Marie Klinkenberg Universidad de Lieja, 3 Place Cockerill, B-4000 Bélgica.

DOI :

https://doi.org/10.35494/topsem.2005.1.13.321

Résumé

L’objectif de l’article est triple : évaluer l’apport global de la sémiotique visuelle à la sémiotique tout court, pointer ses particularités (et notamment ses spécificités épistémologique), tracer quelques unes de ses lignes d’évolution. Parfois en raison même de ses retards et des hypothèques qui ont pesé sur elle à sa naissance (comme son cousinage avec la critique d’art), la sémiotique visuelle aura permis la mise au point d’outils importants (procédures herméneutique, concept de style) et autorisé le débat sur certains points majeurs de la discipline (comme le débat sur l’immanence et la motivation).

Son évolution actuelle indique quelques voies nouvelles que peut emprunter les sémiotique. D’abord menée d’un point de vue interne, la sémiotique visuelle s’oriente aujourd’hui vers le social, mais aussi et surtout , vers le phénoménal et le cognitif : elle exige en effet permis la prise en compte des modalités sensorielles, ce qui, in fine permettra de refonder une sémiotique du monde naturel.

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Biographie de l'auteur

Jean-Marie Klinkenberg, Universidad de Lieja, 3 Place Cockerill, B-4000 Bélgica.

Profesor del Departamento de Retórica y Semiótica, Universidad de Lieja.

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Publiée

2016-03-29

Comment citer

Klinkenberg, J.-M. (2016). La sémiotique visuelle : grands paradigmas et tendances ligne dure. Tópicos Del Seminario, 1(13), 19–48. https://doi.org/10.35494/topsem.2005.1.13.321