Le cubisme de Picasso et de Braque: "anastrophe" depuis l'instance de l'énonciation

Auteurs

  • Luis Moros Universidad de Los Andes.

DOI :

https://doi.org/10.35494/topsem.2002.1.7.299

Résumé

La matière dont se sert la substance signifiante pour formuler un système d'oppositions et de valeurs différentielles non seulement ne semble pas perdre ses qualités inhérentes dans cette transaction où elle négocie ces qualités matérielles pour se convertir en une unité systématique, mais encore il semblerait qu'elle s'incorporerait activement au métabolisme du signifié dans une opération dont le comportement désarticule toute idée du signe comme unité bipolaire et à partir de cette membrane délicate qui sépare l'énoncé de ce qui ne sera jamais dit, depuis l'instance de l'énonciation, cette matérialité du signifiant verse toute sa signification dans le texte auquel elle est incorporée. Telle serait une part de l'importance de l'analyse sémiotique de l'œuvre cubiste de Picasso et de Braque

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Biographie de l'auteur

Luis Moros, Universidad de Los Andes.

Profesor asistente de la Facultad de Arquitectura y Artes, Escuela de Arte y diseño Gráfico de la Universidad de Los Andes.

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Publiée

2016-03-29

Comment citer

Moros, L. (2016). Le cubisme de Picasso et de Braque: "anastrophe" depuis l’instance de l’énonciation. Tópicos Del Seminario, 1(7), 127–149. https://doi.org/10.35494/topsem.2002.1.7.299