Le texte sacré n’existe pas

Auteurs

  • Michel Costantini Universidad de París.

DOI :

https://doi.org/10.35494/topsem.2009.2.22.216

Résumé

L’hypothèse soutenue est qu’en sémiotique il n’y a pas de sacré
en soi, qu’il n’y a de sacralité du texte (au sens sémiotique du
terme) que démontrée à partir des marques, et que ces marques
ne sont pas universelles mais culturelles (au moins à un certain
niveau d’analyse). On considère successivement, pour étayer
cette hypothèse, deux exemples d’un travail possible sur les
marques : l’un, pris dans les peintures du Greco, tend à identifier
le fonctionnement paradigmatique de certains éléments, en
particulier de certains nus, l’autre, à partir du cycle de la Vie de
saint François peinte par Giotto à Assise montre comment se
construit syntagmatiquement, au long des vingt-huit fresques,
une certaine conception du « sacré ».

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Biographie de l'auteur

Michel Costantini, Universidad de París.

Profesor e investigador de la Universidad de París.

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Publiée

2016-03-04

Comment citer

Costantini, M. (2016). Le texte sacré n’existe pas. Tópicos Del Seminario, 2(22), 105–130. https://doi.org/10.35494/topsem.2009.2.22.216