Le cas Maurice Blanchot : négativité, mort et errance du langage

Auteurs

  • Zenia Yébenes Escardó Universidad Autónoma Metropolitana.

DOI :

https://doi.org/10.35494/topsem.2007.2.18.158

Résumé

Cet article tente d’approfondir dans cette relation —que
Heidegger a appelé impensée— entre le langage et la négativité
extrême qui est la mort. À travers les réflexions de Maurice
Blanchot, l’essai développe des conditions de possibilité de la
littérature, liées au langage et à la vérité ; et également ce que
Blanchot appelle la demande de la littérature, qui a trait avec la
mort du fait que la condition littéraire est celle de la dissolution
du sujet qui écrit dans une négation passive et radicale ; un
défaire, dans l’anonymat vertigineux du langage.

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Biographie de l'auteur

Zenia Yébenes Escardó, Universidad Autónoma Metropolitana.

Profesora e investigadora en la Facultad de Humanidades de la
Universidad Autónoma Metropolitana.

Références

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Publiée

2016-03-04

Comment citer

Yébenes Escardó, Z. (2016). Le cas Maurice Blanchot : négativité, mort et errance du langage. Tópicos Del Seminario, 2(18), 113–137. https://doi.org/10.35494/topsem.2007.2.18.158